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Un gâteau  » magique » qui fait le tour du monde

Gâteau magique
Attachez-ben vot’tuque avec d’la broche… il revient!

Si vous ne le connaissez pas encore… il est antique, ancien, vintage et rétro.

Dernièrement, il s’est fait contemporain, presque ultra-moderne ou magique, parce que d’un seul mélange, il se métamorphose en trois gâteaux!

On dit qu’il tire son origine d’un vieux gruau ou d’un porridge, cousin par la fesse gauche de la polenta, du temps que Christophe Colomb ne connaissait encore pas la tomate ou le chocolat.
À travers le monde il a voyagé, et depuis, il a beaucoup changé!

Il a été aperçu pour la dernière fois en France, il y a quelques semaines, mais il a fait fureur dans le Sud-Est de l’Asie au début de l’année, puis aux États l’an dernier.

En 2012, il était en Espagne, après une belle tournée en Roumanie, puis ailleurs en Croatie, l’année d’avant.

Vous l’avez peut-être même aperçu il a plus longtemps encore, alors qu’il faisait des tours de magie au « coconut » chez Sara Lee, avec comme assistante, la fameuse Betty…

Il change de nom comme il change de pays : pratijura desteapta (« gâteau intelligent » pour les Roumains), pametni kolac (« gâteau ingénieux » chez les Croates), magic custard pie (« tarte à la costarde magique » en anglais), torta magica (en espagnol), sihirli kek (en indonésien) et enfin… gâteau magique, dans la francophonie.

Gâteau magique
Attachez-ben vot’tuque avec d’la broche… il revient!

Si vous ne le connaissez pas encore… il est antique, ancien, vintage et rétro.

Dernièrement, il s’est fait contemporain, presque ultra-moderne ou magique, parce que d’un seul mélange, il se métamorphose en trois gâteaux!

On dit qu’il tire son origine d’un vieux gruau ou d’un porridge, cousin par la fesse gauche de la polenta, du temps que Christophe Colomb ne connaissait encore pas la tomate ou le chocolat.
À travers le monde il a voyagé, et depuis, il a beaucoup changé!

Il a été aperçu pour la dernière fois en France, il y a quelques semaines, mais il a fait fureur dans le Sud-Est de l’Asie au début de l’année, puis aux États l’an dernier.

En 2012, il était en Espagne, après une belle tournée en Roumanie, puis ailleurs en Croatie, l’année d’avant.

Vous l’avez peut-être même aperçu il a plus longtemps encore, alors qu’il faisait des tours de magie au « coconut » chez Sara Lee, avec comme assistante, la fameuse Betty…

Il change de nom comme il change de pays : pratijura desteapta (« gâteau intelligent » pour les Roumains), pametni kolac (« gâteau ingénieux » chez les Croates), magic custard pie (« tarte à la costarde magique » en anglais), torta magica (en espagnol), sihirli kek (en indonésien) et enfin… gâteau magique, dans la francophonie.

Gâteau magique Gâteau magique
Il se métamorphose avec le temps…

Il change de et de couleurs, au gré des humeurs et du temps, partout où il va.

Noisette, caramel, ou chocolat, on l’imagine et le décline selon ses goûts, mais son atout premier, surtout, l’as qu’il cache sans tricher… c’est son étagé!

Le tour de magie n’est apparemment pas nouveau, mais même encore aujourd’hui, Houdini en serait épaté!

D’une pierre, trois coups, ou d’un mélange, trois goûts… après avoir enfourné un rien du tout, son fond ferme « façon flan » ou costarde, surmonté d’un centre soyeux « façon crème pâtissière », finalisé par sa génoise, un gâteau des anges tendre et aérée, apparaitront sous vos yeux, quand vous le découperez.
Ben oui, tout ça dans un seul et unique appareil, sans avoir à trop forcer! Sans même d’« abracadabra », ni d’« hocus pocus » à prononcer!

Gâteau magique
Attachez-ben vot’tuque avec d’la broche… il revient!

Si vous ne le connaissez pas encore… il est antique, ancien, vintage et rétro.

Dernièrement, il s’est fait contemporain, presque ultra-moderne ou magique, parce que d’un seul mélange, il se métamorphose en trois gâteaux!

On dit qu’il tire son origine d’un vieux gruau ou d’un porridge, cousin par la fesse gauche de la polenta, du temps que Christophe Colomb ne connaissait encore pas la tomate ou le chocolat.
À travers le monde il a voyagé, et depuis, il a beaucoup changé!

Il a été aperçu pour la dernière fois en France, il y a quelques semaines, mais il a fait fureur dans le Sud-Est de l’Asie au début de l’année, puis aux États l’an dernier.

En 2012, il était en Espagne, après une belle tournée en Roumanie, puis ailleurs en Croatie, l’année d’avant.

Vous l’avez peut-être même aperçu il a plus longtemps encore, alors qu’il faisait des tours de magie au « coconut » chez Sara Lee, avec comme assistante, la fameuse Betty…

Il change de nom comme il change de pays : pratijura desteapta (« gâteau intelligent » pour les Roumains), pametni kolac (« gâteau ingénieux » chez les Croates), magic custard pie (« tarte à la costarde magique » en anglais), torta magica (en espagnol), sihirli kek (en indonésien) et enfin… gâteau magique, dans la francophonie.

Gâteau magique Gâteau magique
Il se métamorphose avec le temps…

Il change de saveurs et de couleurs, au gré des humeurs et du temps, partout où il va.

Noisette, caramel, café ou chocolat, on l’imagine et le décline selon ses goûts, mais son atout premier, surtout, l’as qu’il cache sans tricher… c’est son étagé!

Le tour de magie n’est apparemment pas nouveau, mais même encore aujourd’hui, Houdini en serait épaté!

D’une pierre, trois coups, ou d’un mélange, trois goûts… après avoir enfourné un rien du tout, son fond ferme « façon flan » ou costarde, surmonté d’un centre soyeux « façon crème pâtissière », finalisé par sa génoise, un gâteau des anges tendre et aérée, apparaitront sous vos yeux, quand vous le découperez.

Ben oui, tout ça dans un seul et unique appareil, sans avoir à trop forcer! Sans même d’« abracadabra », ni d’« hocus pocus » à prononcer!

Gâteau magique
Le gâteau qu’on dit « magique »

Comme j’ai dit plus haut, il est né sous le nom de « bouillie », à l’eau, puis au lait, dans de nombreux pays, même les Amérindiens en faisaient une pareille, chez nous, ici…

Refroidie, puis coupée en carrés, frite, cuite et retransformée, à la d’orge, de blé ou de maïs, des oeufs y ont plus tard été ajoutés, pour qu’en quelques centaines d’années soient créés à partir de sa grande simplicité, nombre de gâteaux, de poudings, de crêpes et de desserts sucrés, mais aussi d’infinies tartes et autres possibilités salées.

L’idée est restée la même : simple.
Gâteau magique (base – vanille)

Pour 8 à 10 portions
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 45 à 50 minutes

Ingrédients :

4 jaunes d’oeufs (à érature ambiante)
10 cuillerées à table de sucre
1 cuillerée à table d’eau tempérée
3/4 tasse de farine tout usage
1/2 tasse de beurre fondu tiédi
2 tasses de lait entier (à température ambiante ou mieux, tiède)
2 cuillerées à de vanille
4 blancs d’oeufs (à température ambiante)
1 cuillerée à table de sucre

préparation

——-

Dans une jatte, à l’aide d’un batteur électrique, battre les jaunes, le sucre et l’eau, jusqu’à pâle, mousseux et très épais, soit environ 2 à 3 minutes.
Ajouter le beurre et la farine, et battre à nouveau jusqu’à homogène.
Ajouter le lait et la vanille, bien battre une dernière fois; réserver.
Dans une seconde jatte, monter les blancs en neige ferme, toujours au batteur (le tout très propre et exempt de gras!), en ajoutant le sucre en pluie au moment où ils commencent à mousser.
Plier les blancs complètement* dans l’appareil liquide à l’aide d’une maryse, en évitant de trop les briser (procéder en plusieurs étapes, en fendant les blancs à quelques reprises).
* Il remontra à la surface, une couche de blancs en neige crémeuse, qui flottera sur l’appareil final.
Transférer l’appareil en le versant dans un pyrex rond ou carré (standard), préalablement beurré et fariné (j’ai eu de meilleurs résultats avec un spray à pâtisserie, sans farine).
Cuire au four sur la grille du centre, à 300 °F pour 45 à 50 minutes, (le dessus sera bien doré et gonflé, et retombera en refroidissant).
Retirer du four et laisser complètement refroidir avant de réfrigérer au moins 3 heures, puis détailler en portions pour servir nature, accompagné de sirop, sauce, crème, confiture, ou simplement saupoudré de sucre glace.